C'état en 1942.
A cette époque, mon mari étant musicien dans un orchestre à Marseille avait connu les plus grands Marcel Bianchi, les frères Salvador, tous deux guitaristes, Paul Favoli, grand guitariste classique, et tous ces musiciens faisaient des jams en sourdine car on se chachait des allemands pour qui la musique de jazz était interdite.
Mais quel plaisir! De se cacher! Et j'étais la seule chanteuse à leur disposition. Whaou! Le pied!
Après le départ des allemands, Vincent et ses copains ont monté à Nice le Hot Club de jazz de Nice et ont eu l'opportunité de faire venir pour la première fois Armstrong au Casino Municipal. Souvenirs, souvenirs...
Mon professeur étant Ella Fitzgerald, j'ai imité comme j'ai pu cette grande chanteuse.
Bravo Irène , tu n'as pas fini de nous étonner avec ta pêche , tu nous donnes à tous une leçon de vie ! Je suis heureux pour toi , tu es une exception et tu mérites bien cette joie de vivre qui te caractérise. Sois bénie pour tout le bonheur que tu dispenses autour de toi .Tu as toute mon admiration très sincère.
RépondreSupprimerJe t'embrasse très affectueusement Jimmy GIORDANENGO
BRAVO POUR CE MAGNIFIQUE BLOG !!!
RépondreSupprimerCela valait la peine de t'y mettre à 90 ans ! Quelle preuve de jeunesse ! Bisous Jimmy
Chère Irène, après avoir fait votre connaissance lors de la représentation de notre spectacle d'hier, je suis enchanté de vous retrouver sur ce blog.
RépondreSupprimerConservez encore longtemps cette énergie et cette bonne humeur.
Avec toute mon admiration.
Michel, des "Crânes de Piaf".
Ma trés Chère Irène! quel joie, quel plaisir de te trouver sur internet, cela me rapelle tant de bons souvenirs à t'écouter chanter, à partager de si bons moments avec toi,je ne t'oublie pas et je suis fan!!! Gros bisous d Ardèche ,et n'oublie pas "a d'la joie"!! Olivier
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